Armelle
Je suis l'abri du marin, qui protège quand la mer gronde, qui rassure quand la tempête dévaste, et donne aux hommes un peu de chaleur, quand ils échouent à ma porte, vides d’eux-mêmes, exclus de l’harmonie du monde.
L’espérance revenue, ils s’envolent à nouveau.
Ils se sauvent vers l’avenir, me laissant le fardeau de leurs peines oubliées...