Ronan
Ne peux-tu pas avoir pitié des hommes ! Dans ta vie éternelle, être enfin charitable ! Vois cette mère dévastée, qui t’implore et supplie… Rends-lui son enfant ! Ne la laisse pas couler dans sa terrible douleur. Fais taire ta fureur ! Rends-lui son enfant ! Rends-lui son enfant ! Maîtresse de notre île, ne peux-tu donc te montrer clémente et généreuse, aimée pour ta bonté ? Mais non !
Inexorable broyeuse d'illusions... Ces torrents d’eau, que tu nous jettes au visage... toujours plus violents, toujours plus sauvages... Ne peux-tu donc retenir ton orgueil écrasant ?